« Pour moi, devenir père, c’était une évidence, une envie, un rêve aussi. Je suis un papa cool. Parce que je pense avoir gardé mon âme d’enfant, certaines choses de l’enfance de mes garçons me rappellent la mienne. Mais je ne suis pas poule. Parce que dans ma conception : être poule ce n’est pas aider les enfants à affronter la vie. »
Grégory a reçu « une éducation assez traditionnelle dans le sens positif du terme : pas renfermée mais ouverte vers l’extérieur et avec des valeurs. Mes parents m’ont donné une culture et une éducation qui m’ont permis de faire ce que je fais aujourd’hui et j’en suis très heureux. »
Notre papa cool a trois garçons. Je lui demande quelles sont les clefs d’une éducation masculine réussie : « On va dire que c’est du dressage… Parce que ce sont trois garçons ! Ils ont des personnalités très différentes. On essaie de se rappeler ce qui s’est passé avec nos parents en essayant de s’adapter à notre époque. Quand j’étais enfant, nous étions limités pour regarder la télévision, aujourd’hui on tente de limiter les écrans : iPad, Ordinateur, smartphones. On éduque en ajustant les choses : d’un coté on imagine ce que l’on aimerait qu’ils deviennent, de l’autre on les écoute un maximum. Il faut les laisser grandir, évoluer et surtout ne pas perdre une occasion de bien les écouter. »
Tes garçons te ressemblent ? « Petit, j’étais timide, réservé mais assez battant. Ils ne sont pas du tout comme moi ! Mes fils sont tous petits encore mais il y a un bon mélange entre ma femme et moi. Charles est très sensible et curieux, Marcel est intrépide et joyeux, quant à Auguste, il est contemplatif et souriant. » Pour Grégory, voir sa femme accoucher, c’est : « une expérience différente à chaque fois. Le premier est un stress énorme, un saut dans le vide. Le deuxième c’est espérer que la première fois ne se soit pas bien passée par hasard. Et la troisième c’est lui faire des blagues pour que le temps passe ! »
Son leitmotiv dans la vie : « Rien n’est impossible. Je pense qu’il y a plusieurs voies pour arriver à faire ce qu’on a envie de faire. Être aidé de sa famille c’est quand même avoir plus de chance d’y arriver. »
Gregory, sa femme et ses trois garçons habitent le Luxembourg. « Nous l’avons choisi pour sa qualité de vie. C’est un endroit vert, ouvert à la diversité. La moitié des Luxembourgeois sont étrangers. C’est un pays multilingue où l’éducation française est assez présente. La proximité de Paris ou des pays du nord est un atout pour le travail. » Quand il ne travaille pas, notre papa poule profite de son temps libre pour déguster de bons repas et faire du sport. « Mais je n’ai pas vraiment le temps. Je fais souvent de bons restos avec mes collègues et entre les différents trains, j’essaie de marcher. Entre ma société et mes trois jeunes enfants le temps est rare. J’aimerais que mes garçons fassent du sport. Je sais que mon plus grand aime danser, l’inscrire à des cours de danse n’est pas exclu, ça ne me dérangerait pas. Le deuxième a plutôt un physique de rugbyman, il tentera ! Je veux surtout qu’ils fassent ce qui leur plait. J’ai eu la chance de faire beaucoup de sport quand j’étais jeune. L’école apprend les bases de la vie en société et le sport nous apprend que nous sommes tous différents, qu’il faut travailler dur pour y arriver. Et que certaines personnes seront naturellement plus douées que vous ! »
Si tu étais un super héros pour tes fils, ce serait lequel ? « Spiderman, pour être capable d’être là assez souvent et rapidement. »
Des souhaits pour l’avenir ? « Je leur souhaite d’avoir la même vie que moi. Heureuse. A moi, de continuer de l’être. »
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