Maëva est la jeune maman d’une famille nombreuse. Elle se décrit comme une femme maniaque qui a toujours envie de rigoler. Son leitmotiv « il faut suivre ses rêves et croire en soi. » Le bouquin qui fût pour elle une révélation : « Tout se joue avant six ans. Je le conseille. Même si je suis sûre qu’après six ans on peut rattraper le coup, ce serait trop déprimant sinon ! » Le son qui lui donne la pêche : John Legend. Un plat qui ne pourra jamais être égalé : « Le taboulé de ma grand-mère. » Sa boisson ? Le Mojito. Son addiction ? « Mes enfants ! »
Maëva a quatre enfants. Elle nous raconte l’histoire de leurs prénoms. « Le premier, Lévana est un coup de cœur que nous avons eu en lisant une liste de prénoms. Raphaël également. Pour Ella c’est un clin d’œil à la chanteuse Ella Fitzgerald car mon mari aime beaucoup le Jazz. Ava signifie la vie, c’était parfait ! »
Devenir mère pour Maëva était une évidence. « J’ai toujours pensé que j’aurais des enfants. Mais honnêtement je n’imaginais pas en avoir autant et si rapprochés ! J’ai toujours aimé m’occuper de mes petits cousins et de mes petites sœurs. Je suis contente, aujourd’hui, de pouvoir le faire avec mes enfants. »
Je lui demande si la maternité l’a changée ? « J’ai perdu toute mon insouciance. Je ne suis plus du tout légère ! Une mère ne pense plus pareil. Le « Je » passe au second plan. Dès que l’on fait quelque chose, on pense à ses enfants. Même seule, en croyant être tranquille, on pense à eux et on fait des choses pour eux. »
La famille nombreuse de Maëva s’est construite naturellement. « Je n’avais jamais pensé à un nombre défini. Par contre, je tenais à avoir des enfants jeune. Mon mari, lui, en voulait plus. Il vient d’une famille nombreuse, il désirait au minimum trois enfants. Je suis ravie. J’adore les bébés et les enfants. Chaque âge est merveilleux. Chaque enfant est unique. »
Petite fille, Maëva voulait devenir médecin. Elle l’est devenue. Comment gère-t-on un travail prenant et quatre enfants ? « Il faut avoir des nounous sur qui on peut compter. Ce n’est pas toujours évident ! Il faut tout prévoir à l’avance. Il n’y a pas de place pour le hasard. »
Ses parents lui ont donné une éducation faite de travail et de courage. Elle souhaite la transmettre à ses enfants.
Le soir, tous ensemble, ils partagent un petit rituel. « On met de la musique et on danse. Les enfants adorent ça. Ce moment les détend. Même si ça peut paraître fou ! On commence par un morceau qui bouge et on finit par un plus calme. Ça adoucit.«
Les vacances idéales de de Maëva ressemblent à ça : « Des enfants qui s’éclatent dans des mini-clubs et des parents qui font du sport et boivent des cocktails. » Par ailleurs si elle devait visiter un pays, ce serait l’Argentine. « Ma grand-mère vient de là-bas et on m’a toujours dit que c’était extraordinaire. Je n’ai pas encore eu l’occasion d’y aller. »
Sa maison du bonheur ? « De l’animation dans tous les sens, des couleurs, des photos sur les murs, des jeux qui trainent partout. Un peu comme à la maison ! »