Qui es-tu ?
« Je m’appelle Raphaël. J’ai 35 ans. J’habite Paris. Dans la vie, je suis entrepreneur. J’ai un enfant. Le seul, l’unique, le roi ! »
Tu es plutôt papa poule ou papa cool ?
« Les deux ! Papa poule, parce qu’on fait énormément pour lui. Je pense qu’on rentre bien dans cette catégorie de parents très attentifs, qui essaient de passer du temps avec leur enfant. Papa cool, parce que c’est quand même sacrément fun d’avoir un petit garçon ! »
Je demande à Raphaël de ma raconter comment il était petit garçon. Il se met à rire et me répond : « Il faudrait le demander à mes parents ! Je pense que j’étais assez turbulent, comme mon fils. Il me ressemble pas mal. »
A cette époque là, notre papa cool se rêvait cuisinier et détestait ses heures de français ! Pour lui la paternité n’est pas une évidence. C’est une expérience qui doit être vécue pour être connue. On se découvre papa. On apprend la patience et « la capacité à ne pas dormir pendant un certain nombre de nuits voire un nombre de nuits certain ! »
Pour Raphaël, il sera important d’apprendre à son fils des valeurs fondamentales comme la curiosité, et la confiance en soi. Il souhaiterait que J. ne se sente jamais obligé de rentrer dans le rang. Pour lui, ce sont des qualités qui font les entrepreneurs. « J’aimerais bien qu’on arrive à lui donner ces bases. »
Le congé paternité, ça te parle ?
« Oui, c’était génial. J’ai même rajouté un peu de vacances au bout pour rester là et c‘était très chouette. On devient père les premiers jours, dans cette capacité à s’occuper de son nouveau-né. C’est très utile pour faire des meilleurs papas poule ! »
Voir sa femme accoucher en un mot c’est ?
« Détonnant ! »
Tu as une maxime dans la vie ?
« Ne pas alourdir ses pensées du poids de ses souliers, c’est de André Breton. »
Raphaël cuisine pour sa femme et son fils. Et il aime particulièrement ça. « On a fait tous ses petits plats maison, et en sorte qu’il goûte à peu près tout ce qui est dispo sur le marché. C’est surprenant de découvrir les goûts qu’il apprécie. Il a détesté des choses évidentes comme la betterave alors qu’il a adoré le foie ! Il mange de la muscade à la petite cuillère. Quand on aime la cuisine, un tout petit, c’est une manière de redécouvrir l’alimentation, de la repenser. »
Notre it dad ne partage pas que la cuisine avec son fils, il lui fait écouter de la musique depuis ses premiers mois. De la musique classique et contemporaine. Il a été étonné de découvrir la passion de son fils pour Kanye West !
Ton rêve de bonheur ?
« On est heureux. Mais si je devais ajouter quelque chose, là aujourd’hui, ce serait un jardin. C’est ce qui nous manque à Paris. »
S’il devait se changer en super héros pour son fils ? « Ce ne serait pas un mec qui vole ! J’aime bien les supers héros, mais je n’arrive pas à incarner la chose. Il faudrait inventer super papa ! »
Avant qu’il ne sorte de la pièce, je demande à Raphaël si il y a une question que je ne lui ai pas posée et à laquelle il aurait aimé répondre :
« Oui. Qu’est ce que je fais là ?! J’ai une super femme, alors je me fais embarquer dans des supers aventures. Je trouve ça chouette d’avoir la liberté de partager le métier de sa femme. Je suis ravi d’être chez émoi émoi aujourd’hui ! »
Sweats Papa Cool et Papa Poule, 80€, rêvés à Paris et fabriqués au Portugal, disponibles en gris anthracite, du S au XL, à partir du 13 novembre en exclusivité sur émoi émoi.