Parce que l’été est une saison à part, elle mérite qu’on garde en tête quelques principes libérateurs :
Je m’octroie le luxe de faire moins.
Et de profiter plus.
Je dis oui à ce qui me fait du bien.
Un bain de mer à 20h, une sieste sous un arbre…
Je peux faire des plans.
Mais c’est encore mieux si je ne les tiens pas.
Je savoure les plaisirs minuscules.
Ils ont un impact énorme.
Je choisis mes batailles.
Son maillot est rempli de sable. Pas grave, ça le fait rire.
Je ne m’attends pas à me reposer avec mes enfants.
Je crée des souvenirs pour la vie.
Je m’offre des pauses sans culpabilité.
Un café seul·e, un livre en douce, une heure de playa rien avec moi.
Je me rappelle qu’on passe en moyenne 18 étés avec ses enfants.
C’est (pas) beaucoup.
J’ai chaud.
Ça me donne une excuse supplémentaire pour ne rien faire.
Je vis d’amour, de restes de compotes et de chips oubliées sous le parasol.
Et ça me va.
