Nos prénoms de la semaine, vous les attendez. Après plus de 200 articles sur le sujet, on avait envie d’aller plus loin qu’une étymologie. On a donc laissé la parole aux parents #alorsalorspourquoiceprénom?. Qui ont évidemment de vrais arguments.
Peter : « Oui avec l’accent. Non, c’est le papa qui est anglais. Oui, je sais je vis en France. Et vous, ça vous arrive de voyager ?. Un extrait parmi tant d’autres de la réception du prénom de mon fils dans l’hexagone. »
Sasha : « Son père a une peur bleue que notre fille ait un cheveux sur la langue. Elle a 8 mois et il lui parle déjà à la manière d’une orthophoniste. Tout va bien. »
Valentin : « Son papa m’a demandé mon numéro de téléphone un 14 février. La boucle est bouclée. Pour le deuxième, si on se fixe sur notre jour de mariage, on est un peu embêtés. #SaintProsper »
Malaurine : « À deux jours de ma césarienne, une copine me disait qu’elle avait été traumatisée par une Malaury en CE2. Du coup j’ai changé la fin, last minute. »
Vadim : « Tout est dit. Mon fils est le plus beau. Et son prénom y est pour quelque chose. »
Prune : « Ah ! Comme l’amende ? Non comme (l’autre) fruit. Merci. »
Roméo : « Parce que je pensais avoir une fille. Et qu’elle se serait appelée Juliette. » #cohérent
Capucine : « Mon mari est fan de ce prénom. J’ai dit Ok à une condition : Je lance un verre d’eau à ceux qui oseraient l’appeler Capu. «
Photo : @lisadanielle__