Nos prénoms de la semaine, vous les attendez. Après plus de 200 articles sur le sujet, on avait envie d’aller plus loin qu’une étymologie. On a donc laissé la parole aux parents #alorsalorspourquoiceprénom? …Qui ont évidemment de vrais arguments.
Aliette : « C’est doux, rare, pétillant, comme notre couple depuis 8 ans. Aliette, c’est la somme de nous deux aussi. Mon mec aimait Alysson, j’aimais Juliette. Ce sera donc Aliette. » Béatrice
Esteve : « On avait entendu ce prénom en vacances en Bretagne. Un serveur d’une douceur et d’une énergie folle. On s’était dit que si l’enfant que je portais à l’époque était un garçon, on lui donnerait évidemment ce prénom. » Pauline
Téa : « Ma femme est italienne. Elle m’a dit texto : « Je veux que notre fille porte un prénom italien, à toi de choisir ! » J’ai choisi. Et ce qui tombait plutôt bien, c’est que Téa était le nom qu’elle avait donné à la poupée de son enfance. Comme quoi ! » Bruno
Foster : « Il y a un an et demi, on s’est installés dans la campagne anglaise peu de temps après le confinement. On s’est mis tous les deux en télétravail, on avait envie de ça alors même qu’aucun de nous n’est anglais. Et dans ce paysage de dingue, on a profité de la pluie pour faire un bébé. Foster signifie : gardien de forêt...ou de notre paradis, ça marche aussi ! » Solenn
Ysaure : « Est-ce que les plus beaux choix de prénom ne sont pas ceux qui n’ont aucune raison ? » Marco
Némo : « Non, mon fils n’est pas un poisson Pixar. Oui, c’est davantage un hommage à Vingt Mille Lieues sous les mers qui a constitué 80% de mon univers d’enfant. Tout simplement. » Louisa
Et pour célébrer ces enfants aux prénoms parfaits, on a imaginé des petites merveilles qui adoucissent les jours et les nuits.
Photo : @katerynache