On nous dit souvent qu’entreprendre, c’est donner sa vie, son âme, son temps à sa boîte. Après 6 mois d’activité, je vous confirme que ce n’est pas faux. Nathalie et moi en avons perdu notre nom de famille. « Bonjour madame, Nathalie d’émoi émoi je ne vous dérange pas ? Je voulais m’assurer que les tailles commandées étaient les bonnes » ou encore « Bonjour Caroline, c’est Adèle d’émoi émoi, est-ce qu’il vous reste des pulls Luce ? On est presque en rupture ! ». Plus de Nathalie Fargeon ou d’Adèle Bounine. On est en ménage à trois avec émoi émoi.
Et encore, si on ne donnait que sa vie… mais on donne aussi son corps à la science de la vente en ligne ! Plus précisément, on offre nos jambes à la science de la vente en ligne de collants de grossesse. C’est comme ça qu’émoi émoi a commencé à rivaliser avec Dim. Prenez un bon tabouret, un mur blanc, un toit verrière pour la lumière, une styliste qui vous tire en arrière pour soulager vos abdos (qui n’ont pas travaillé depuis 6 mois, la faute à émoi émoi) et un appareil de pro et vous aussi vous saurez shooter des collants. La preuve en image ci-dessous. Classe non ?
Collants de grossesse 20D Pietro Brunelli – Collants de grossesse kaki 1 et 1 font 3